
Marillion
20/12/2002
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Par Djul
Photos:
Site du groupe :
| LIVE REPORT : MARILLION
 Set list : Seasons End – Between You and Me – Quartz – Beautiful – Mad – Afraid of Sunlight – Map of the World – This is the 21st Century – Man of 1000 Faces – Uninvited Guest – This Town / 100 Nights – The Great Escape – Easter – Cover My Eyes -This Strange Engine Nous vous l’avions annoncé dans nos news, et ne pouvions rater l’occasion de nous y rendre : Marillion donnait, il y a quelques jours, un concert pour son fan-club francais, ouvert également aux quelques chanceux qui avaient pu trouver des places restantes.   Le groupe paraissait détendu, Pete Trewavas assurant le spectacle en parcourant la scène, et Steve Hogarth focalisant comme d’habitude l’attention. Le voir se donner, il n’y a pas d’autres mots, et s’investir autant reste toujours aussi impressionnant, sa voix transportant littéralement l’auditoire. Un peu fatigué diront certains, mais toujours aussi envoûté et envoûtant… Le son était, de là où nous étions, parfait, plus puissant qu’à l’habitude, mais très clair, permettant un superbe rendu, comme sur l’exigeant « This is the 21st century » où Rothery nous régala. Seuls des morceaux un peu plus faciles, tels « Beautiful », « Easter » ou « Cover my Eyes » firent baisser un peu le niveau stratosphérique du programme du jour, bien qu’ils restent toujours agréables. La GROSSE surprise vint du (second) rappel : mine de rien, Hogarth s’approcha de son micro et glissa la phrase magique : « There was a boy… » ! Hé oui, « This Strange Engine », le pavé de 15 minutes, en live ! Le groupe remplaça la partie centrale, enchaînée à un magnifique solo de Rothery, par quelques chants de Noël ! Bref, ce fut un très grand moment, dès lors que c’est le Marillion émotionnel qui vous plaît, ce qui est probablement le cas de la plupart de ses fans. Une des meilleures prestations de l’année ! Djul site web : http://www.marillion.com | 
 
               C’est          dans une ambiance recueillie et intime que le groupe fit son entrée          sur scène et, dès le premier morceau, nous comprîmes          le caractère très particulier du show, puisque le superbe          et évanescent « Seasons Ends » est plus que rare en          concert. Posté derrière la console, sur le côté          de cette petite scène du Trabendo, si nous sommes tombés          en panne de photos nous avons eu cependant le privilège de voir          de très près le groupe, qui nous offrit deux heures et quart          de pur bonheur. La set-list faisait la part belle à Brave et Afraid          of Sunlight, tandis qu’aucun morceau de Radiation ou de Marillion.com          (hélas !) ne figuraient au programme. Bref, l’émotion          était de mise, la part des morceaux les plus pop ou les plus entraînants          étant réservé aux extraits d’Anoraknophobia,          avec l’énergique « Between you and Me », «          Quartz », « Map of the world » ou le désormais          classique « Man of a Thousand Faces ». Pour le reste, de «          Afraid of Sunlight » au génial « Mad », les amateurs          du Marillion 94-95, dont je fais partie, se sont régalés          ! Le groupe se permit même d’aller chercher « This Town          Trilogie » au grenier !
C’est          dans une ambiance recueillie et intime que le groupe fit son entrée          sur scène et, dès le premier morceau, nous comprîmes          le caractère très particulier du show, puisque le superbe          et évanescent « Seasons Ends » est plus que rare en          concert. Posté derrière la console, sur le côté          de cette petite scène du Trabendo, si nous sommes tombés          en panne de photos nous avons eu cependant le privilège de voir          de très près le groupe, qui nous offrit deux heures et quart          de pur bonheur. La set-list faisait la part belle à Brave et Afraid          of Sunlight, tandis qu’aucun morceau de Radiation ou de Marillion.com          (hélas !) ne figuraient au programme. Bref, l’émotion          était de mise, la part des morceaux les plus pop ou les plus entraînants          étant réservé aux extraits d’Anoraknophobia,          avec l’énergique « Between you and Me », «          Quartz », « Map of the world » ou le désormais          classique « Man of a Thousand Faces ». Pour le reste, de «          Afraid of Sunlight » au génial « Mad », les amateurs          du Marillion 94-95, dont je fais partie, se sont régalés          ! Le groupe se permit même d’aller chercher « This Town          Trilogie » au grenier !