Dead Letter Circus – Le feu sacré

En ce moment précis, Clint Gough de Like Thieves travaille sur votre video. Peux tu nous en dire plus ?
C’est très prometteur, dans la lignée de « Lodestar » où notre personnage principal mène la révolte contre les « Leaders ». C’est là que la prise de conscience se fait, les gens se rendant compte de leur potentiel, de ce qu’ils sont vraiment, au lieu d’être ce qu’on leur dit d’être. Stewart (Hill, basse) a failli faire un malaise à cause d’un gros coup de chaleur mais il a tenu bon et a fait du Stewart. Il faut comprendre par là qu’il était au top !

Dans notre précédent entretien, tu mentionnais le fait que les éléments électro auraient une plus grande importance sur le nouvel album. Est-ce que cela a joué sur la production ?
Il y a toujours ces éléments, mais nous avons fait en sorte que le groupe reste mis en avant. Les samples font plus office de support. L’esprit de groupe a pris le dessus si je puis dire ainsi. Ceci dit, « The Veil » est un titre très électro qui utilise une banque de sons organiques que Stew et moi-même avons créé dans ma cuisine. Un savoureux mélange de sons électro de synthèse, avec des sons réels.

Est-ce que DLC pourrait sortir un album entier basé sur des samples ?
Les mecs étant très calés sur la production, je pense que çela pourrait être possible. Le ferions nous ou pas ? C’est une autre histoire. Nous aimons des groupes comme Massive Attack, Portishead, NIN et la facette électro de Radiohead. Nous écrivons beaucoup avec les ordinateurs. Ces outils sont à notre disposition. Il y en aura toujours dans notre musique, mais avant tout, nous resterons un groupe de rock.

Une fois de plus, Forrester Savell était aux manettes. C’est LE producteur du moment vu qu’il a travaillé avec vos amis de Karnivool & The Butterfly Effect. On ne change pas une équipe qui gagne, mais l’idée de travailler avec quelqu’un d’autre vous a t-elle effleurée l’esprit dans le but d’avoir un nouveau son ?
On adore bosser avec Forrester. Il sait magnifier notre musique. C’est un passionné et on le sent dans le projet. Nous ne pourrions pas collaborer avec un producteur qui n’est pas aussi investi que nous sur le plan émotionnel. Nous avons fait appel à JR McNeely qui s’est chargé du mix, un peu comme un ingé son exécutif. C’est d’ailleurs la première fois que nous laissons quelqu’un d’autre que Forrester mixer notre musique. Mais le fait est, il a réalisé un boulot d’enfer !

Y a-t-il du matériel ou des chutes de studio qui ne figurent pas sur le disque ?
Il y a quatre-cinq titres qu’nous avons mis de coté. Ils pourraient être sur notre prochain disque, une fois que nous les aurons terminés. Disons qu’ils n’étaient pas tout à fait présentables. Cela nous fera des titres déjà prêts pour le troisième album !

Vous étiez chez Sumerian Records, et pour The Catalyst Fire vous avez signé chez The End Records. Pourquoi ?
Nous n’avons rien à reprocher à Sumerian. Au contraire, c’est un super label qui a cru en nous en sortant This Is The Warning aux Etats-Unis. Pour ce deuxième disque nous avons effectivement décidé de nous engager avec The End Records. Il s’avère que Sumerian est un label très typé et orienté metal. La vérité est que nous ne faisons pas du metal. C’est ce qui nous a poussé à signer chez The End Records qui correspond plus à notre style.

Est-ce que Clint et toi jouez toujours avec Melodyssey ?
Cela fait quelques années que nous n’avons rien fait avec Melodyssey. Rien de prévu pour le moment, mais qui sait ?

Vous avez sillonné l’Europe avec Monuments, excepté la France ? Ce n’est pas bien, ça…
La tournée avec Monuments était géniale. Nous sommes devenus accro à ces mecs et à leur musique. Soyez patients, amis français, DLC va venir vous rendre visite. C’est une question de temps.

Un dernier mot ?
France, tu es notre prochaine cible. Nous voulons goûter tes croissants, parler ta langue avec nos accents ridicules, voir la Tour Eiffel et marquer les esprits avec un concert mémorable. Nous viendrons, c’est promis !

Fer de lance de la scène australienne aux cotés de Karnivool, Dead Letter Circus était attendu au tournant. Son premier album, This Is The Warning ayant enthousiasmé la critique, le gang de Brisbane se devait de confirmer les espoirs placés en lui. Mission accomplie avec The Catalyst Fire qui souffle le chaud. Luke Williams s’est une nouvelle fois prêté au jeu des questions / réponses. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a des revendications et il le fait savoir…

Chromatique : Vous sembliez attendus au tournant avec ce nouveau disque. Clint Vincent vous ayant rejoint entre temps, est-ce que le processus d’écriture a changé avec son arrivée ?
Luke Williams :
En termes d’approche, l’écriture de The Catalyst Fire n’a rien de comparable avec This Is The Warning pour lequel nous avions composé la moitié du disque en tant que groupe, avant d’opter pour un mode individuel. C’est même l’inverse qui s’est passé ici : ce nouvel album est né avec des démos préparées avant que le groupe ne les écoute, et qu’il ne les fasse évoluer en un véritable travail en commun. Vers la fin de l’écriture nous nous sommes remis à improviser ensemble. Clint est arrivé et a juste suivi le mouvement. La manière dont les choses se sont déroulées l’ont aidé à s’intégrer rapidement. Tom Sklerj nous a également rejoint depuis 2010, et que dire de plus si ce n’est que c’est un excellent musicien qui s’est parfaitement acclimaté au processus d’écriture.

Votre ancien guitariste, Rob Maric a quitté Dead Letter Circus. Qu’est-ce que Clint a apporté au groupe ?
Clint et moi-même avons longtemps joué ensemble dans Melodyssey. Donc il y avait déjà une certaine alchimie entre nous. Il a par la suite été le manager de DLC à partir de fin 2010, jusqu’à ce qu’il nous rejoigne en tant que guitariste. Donc nous le connaissions bien, faisant déjà partie de notre cercle proche. Clint a une approche bien plus classique de l’écriture. Il s’est imprégné de la signature de Rob avec les guitares délayées et éthérées. Pour moi, il en a accentué le coté heavy.

Quels sont les thèmes évoqués sur The Catalyst Fire ?
Ils s’inscrivent dans la continuité de This Is The Warning, où nous mettions l’auditeur en garde : Réveille-toi ! Regarde autour de toi !. Là, on a cherché à le mettre devant les faits : que vas-tu faire ?. En tant que groupe, nous voyons beaucoup de mensonges notamment dans les sphères politiques et environnementales et les gens doivent se rebeller. Ils doivent se mettre en pétard ! Nous en appelons à la révolution ! La société détruit la planète au nom du profit. Les gouvernements érodent nos classes sociales et s’attaquent même aux bases des droits de l’homme. N’y a-t-il pas de quoi être en colère ? Il faut se réveiller, sortir la tête du sable et se rendre compte des actions grotesques de nos soi-disant leaders.

La video de « Lodestar » a un coté apocalyptique. On passe du combat à l’unification. Quel est le message délivré ici ?
Ça rejoint un peu notre mission en tant que groupe. Le monde marche sur la tête en ce moment, et nous espérons que le peuple peut s’unir pour bâtir un nouveau monde, libéré de la dictature d’entreprise ainsi que des gouvernements dont la priorité est l’enrichissement personnel au détriment du bien-être de son peuple. Un monde où chaque être humain prendrait compte de son réel potentiel et pourrait suivre son propre chemin, plutôt que d’être placé dans un système où l’oppression est le maître mot : beaucoup d’investissement contre peu de choses en retour.

En ce moment précis, Clint Gough de Like Thieves travaille sur votre video. Peux tu nous en dire plus ?
C’est très prometteur, dans la lignée de « Lodestar » où notre personnage principal mène la révolte contre les « Leaders ». C’est là que la prise de conscience se fait, les gens se rendant compte de leur potentiel, de ce qu’ils sont vraiment, au lieu d’être ce qu’on leur dit d’être. Stewart (Hill, basse) a failli faire un malaise à cause d’un gros coup de chaleur mais il a tenu bon et a fait du Stewart. Il faut comprendre par là qu’il était au top !

Dans notre précédent entretien, tu mentionnais le fait que les éléments électro auraient une plus grande importance sur le nouvel album. Est-ce que cela a joué sur la production ?
Il y a toujours ces éléments, mais nous avons fait en sorte que le groupe reste mis en avant. Les samples font plus office de support. L’esprit de groupe a pris le dessus si je puis dire ainsi. Ceci dit, « The Veil » est un titre très électro qui utilise une banque de sons organiques que Stew et moi-même avons créé dans ma cuisine. Un savoureux mélange de sons électro de synthèse, avec des sons réels.

Est-ce que DLC pourrait sortir un album entier basé sur des samples ?
Les mecs étant très calés sur la production, je pense que çela pourrait être possible. Le ferions nous ou pas ? C’est une autre histoire. Nous aimons des groupes comme Massive Attack, Portishead, NIN et la facette électro de Radiohead. Nous écrivons beaucoup avec les ordinateurs. Ces outils sont à notre disposition. Il y en aura toujours dans notre musique, mais avant tout, nous resterons un groupe de rock.

Une fois de plus, Forrester Savell était aux manettes. C’est LE producteur du moment vu qu’il a travaillé avec vos amis de Karnivool & The Butterfly Effect. On ne change pas une équipe qui gagne, mais l’idée de travailler avec quelqu’un d’autre vous a t-elle effleurée l’esprit dans le but d’avoir un nouveau son ?
On adore bosser avec Forrester. Il sait magnifier notre musique. C’est un passionné et on le sent dans le projet. Nous ne pourrions pas collaborer avec un producteur qui n’est pas aussi investi que nous sur le plan émotionnel. Nous avons fait appel à JR McNeely qui s’est chargé du mix, un peu comme un ingé son exécutif. C’est d’ailleurs la première fois que nous laissons quelqu’un d’autre que Forrester mixer notre musique. Mais le fait est, il a réalisé un boulot d’enfer !

Y a-t-il du matériel ou des chutes de studio qui ne figurent pas sur le disque ?
Il y a quatre-cinq titres qu’nous avons mis de coté. Ils pourraient être sur notre prochain disque, une fois que nous les aurons terminés. Disons qu’ils n’étaient pas tout à fait présentables. Cela nous fera des titres déjà prêts pour le troisième album !

Vous étiez chez Sumerian Records, et pour The Catalyst Fire vous avez signé chez The End Records. Pourquoi ?
Nous n’avons rien à reprocher à Sumerian. Au contraire, c’est un super label qui a cru en nous en sortant This Is The Warning aux Etats-Unis. Pour ce deuxième disque nous avons effectivement décidé de nous engager avec The End Records. Il s’avère que Sumerian est un label très typé et orienté metal. La vérité est que nous ne faisons pas du metal. C’est ce qui nous a poussé à signer chez The End Records qui correspond plus à notre style.

Est-ce que Clint et toi jouez toujours avec Melodyssey ?
Cela fait quelques années que nous n’avons rien fait avec Melodyssey. Rien de prévu pour le moment, mais qui sait ?

Vous avez sillonné l’Europe avec Monuments, excepté la France ? Ce n’est pas bien, ça…
La tournée avec Monuments était géniale. Nous sommes devenus accro à ces mecs et à leur musique. Soyez patients, amis français, DLC va venir vous rendre visite. C’est une question de temps.

Un dernier mot ?
France, tu es notre prochaine cible. Nous voulons goûter tes croissants, parler ta langue avec nos accents ridicules, voir la Tour Eiffel et marquer les esprits avec un concert mémorable. Nous viendrons, c’est promis !

Fer de lance de la scène australienne aux cotés de Karnivool, Dead Letter Circus était attendu au tournant. Son premier album, This Is The Warning ayant enthousiasmé la critique, le gang de Brisbane se devait de confirmer les espoirs placés en lui. Mission accomplie avec The Catalyst Fire qui souffle le chaud. Luke Williams s’est une nouvelle fois prêté au jeu des questions / réponses. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a des revendications et il le fait savoir…

Chromatique : Vous sembliez attendus au tournant avec ce nouveau disque. Clint Vincent vous ayant rejoint entre temps, est-ce que le processus d’écriture a changé avec son arrivée ?
Luke Williams :
En termes d’approche, l’écriture de The Catalyst Fire n’a rien de comparable avec This Is The Warning pour lequel nous avions composé la moitié du disque en tant que groupe, avant d’opter pour un mode individuel. C’est même l’inverse qui s’est passé ici : ce nouvel album est né avec des démos préparées avant que le groupe ne les écoute, et qu’il ne les fasse évoluer en un véritable travail en commun. Vers la fin de l’écriture nous nous sommes remis à improviser ensemble. Clint est arrivé et a juste suivi le mouvement. La manière dont les choses se sont déroulées l’ont aidé à s’intégrer rapidement. Tom Sklerj nous a également rejoint depuis 2010, et que dire de plus si ce n’est que c’est un excellent musicien qui s’est parfaitement acclimaté au processus d’écriture.

Votre ancien guitariste, Rob Maric a quitté Dead Letter Circus. Qu’est-ce que Clint a apporté au groupe ?
Clint et moi-même avons longtemps joué ensemble dans Melodyssey. Donc il y avait déjà une certaine alchimie entre nous. Il a par la suite été le manager de DLC à partir de fin 2010, jusqu’à ce qu’il nous rejoigne en tant que guitariste. Donc nous le connaissions bien, faisant déjà partie de notre cercle proche. Clint a une approche bien plus classique de l’écriture. Il s’est imprégné de la signature de Rob avec les guitares délayées et éthérées. Pour moi, il en a accentué le coté heavy.

Quels sont les thèmes évoqués sur The Catalyst Fire ?
Ils s’inscrivent dans la continuité de This Is The Warning, où nous mettions l’auditeur en garde : Réveille-toi ! Regarde autour de toi !. Là, on a cherché à le mettre devant les faits : que vas-tu faire ?. En tant que groupe, nous voyons beaucoup de mensonges notamment dans les sphères politiques et environnementales et les gens doivent se rebeller. Ils doivent se mettre en pétard ! Nous en appelons à la révolution ! La société détruit la planète au nom du profit. Les gouvernements érodent nos classes sociales et s’attaquent même aux bases des droits de l’homme. N’y a-t-il pas de quoi être en colère ? Il faut se réveiller, sortir la tête du sable et se rendre compte des actions grotesques de nos soi-disant leaders.

La video de « Lodestar » a un coté apocalyptique. On passe du combat à l’unification. Quel est le message délivré ici ?
Ça rejoint un peu notre mission en tant que groupe. Le monde marche sur la tête en ce moment, et nous espérons que le peuple peut s’unir pour bâtir un nouveau monde, libéré de la dictature d’entreprise ainsi que des gouvernements dont la priorité est l’enrichissement personnel au détriment du bien-être de son peuple. Un monde où chaque être humain prendrait compte de son réel potentiel et pourrait suivre son propre chemin, plutôt que d’être placé dans un système où l’oppression est le maître mot : beaucoup d’investissement contre peu de choses en retour.

En ce moment précis, Clint Gough de Like Thieves travaille sur votre video. Peux tu nous en dire plus ?
C’est très prometteur, dans la lignée de « Lodestar » où notre personnage principal mène la révolte contre les « Leaders ». C’est là que la prise de conscience se fait, les gens se rendant compte de leur potentiel, de ce qu’ils sont vraiment, au lieu d’être ce qu’on leur dit d’être. Stewart (Hill, basse) a failli faire un malaise à cause d’un gros coup de chaleur mais il a tenu bon et a fait du Stewart. Il faut comprendre par là qu’il était au top !

Dans notre précédent entretien, tu mentionnais le fait que les éléments électro auraient une plus grande importance sur le nouvel album. Est-ce que cela a joué sur la production ?
Il y a toujours ces éléments, mais nous avons fait en sorte que le groupe reste mis en avant. Les samples font plus office de support. L’esprit de groupe a pris le dessus si je puis dire ainsi. Ceci dit, « The Veil » est un titre très électro qui utilise une banque de sons organiques que Stew et moi-même avons créé dans ma cuisine. Un savoureux mélange de sons électro de synthèse, avec des sons réels.

Est-ce que DLC pourrait sortir un album entier basé sur des samples ?
Les mecs étant très calés sur la production, je pense que çela pourrait être possible. Le ferions nous ou pas ? C’est une autre histoire. Nous aimons des groupes comme Massive Attack, Portishead, NIN et la facette électro de Radiohead. Nous écrivons beaucoup avec les ordinateurs. Ces outils sont à notre disposition. Il y en aura toujours dans notre musique, mais avant tout, nous resterons un groupe de rock.

Une fois de plus, Forrester Savell était aux manettes. C’est LE producteur du moment vu qu’il a travaillé avec vos amis de Karnivool & The Butterfly Effect. On ne change pas une équipe qui gagne, mais l’idée de travailler avec quelqu’un d’autre vous a t-elle effleurée l’esprit dans le but d’avoir un nouveau son ?
On adore bosser avec Forrester. Il sait magnifier notre musique. C’est un passionné et on le sent dans le projet. Nous ne pourrions pas collaborer avec un producteur qui n’est pas aussi investi que nous sur le plan émotionnel. Nous avons fait appel à JR McNeely qui s’est chargé du mix, un peu comme un ingé son exécutif. C’est d’ailleurs la première fois que nous laissons quelqu’un d’autre que Forrester mixer notre musique. Mais le fait est, il a réalisé un boulot d’enfer !

Y a-t-il du matériel ou des chutes de studio qui ne figurent pas sur le disque ?
Il y a quatre-cinq titres qu’nous avons mis de coté. Ils pourraient être sur notre prochain disque, une fois que nous les aurons terminés. Disons qu’ils n’étaient pas tout à fait présentables. Cela nous fera des titres déjà prêts pour le troisième album !

Vous étiez chez Sumerian Records, et pour The Catalyst Fire vous avez signé chez The End Records. Pourquoi ?
Nous n’avons rien à reprocher à Sumerian. Au contraire, c’est un super label qui a cru en nous en sortant This Is The Warning aux Etats-Unis. Pour ce deuxième disque nous avons effectivement décidé de nous engager avec The End Records. Il s’avère que Sumerian est un label très typé et orienté metal. La vérité est que nous ne faisons pas du metal. C’est ce qui nous a poussé à signer chez The End Records qui correspond plus à notre style.

Est-ce que Clint et toi jouez toujours avec Melodyssey ?
Cela fait quelques années que nous n’avons rien fait avec Melodyssey. Rien de prévu pour le moment, mais qui sait ?

Vous avez sillonné l’Europe avec Monuments, excepté la France ? Ce n’est pas bien, ça…
La tournée avec Monuments était géniale. Nous sommes devenus accro à ces mecs et à leur musique. Soyez patients, amis français, DLC va venir vous rendre visite. C’est une question de temps.

Un dernier mot ?
France, tu es notre prochaine cible. Nous voulons goûter tes croissants, parler ta langue avec nos accents ridicules, voir la Tour Eiffel et marquer les esprits avec un concert mémorable. Nous viendrons, c’est promis !