Chrysostome Ricaud

Pour son premier concert à 12 ans, il va voir Genesis sur la tournée "We can't dance" (à l'époque il les aimait pour leurs tubes pop). Puis, adolescence dans les années 90 oblige, il a été fan de grunge et de hard rock. A la fin du siècle dernier, c'est par le métal progressif alors en plein essor (Tool, Savatage, Shadow Gallery, Pain of Salvation, Opeth...) qu'il a mis un pied dans l'univers du progressif qui est alors devenu son genre musical préféré. Adepte de l'âge d'or (Pink Floyd, Genesis, King Crimson, Yes, ELP, Jethro Tull, Gentle Giant, Camel, Mike Oldfield...) il est par contre allergique au néo-prog. Quelques groupes du début des années 90 perpétuent suffisamment l'esprit originel sans en être esclave pour l'enthousiasmer (Porcupine Tree, Anglagard, Anekdoten). Mais depuis le début du XXIème siècle, c'est surtout dans le jazz qu'il retrouve le souffle de liberté et de métissage des genre musicaux du prog des débuts (le contrebassiste Avishai Cohen, Tigran Hamasyan, Guillaume Perret, Ibrahim Maalouf...). Il est bien évidemment également adepte du jazz fusion des années 70 (Return to Forever, Mahavishnu orchestra, Weather Report, Herbie Hancock...). Au final, quel que soit le genre musical, il aime les musiques ambitieuses et aventureuses (Art Pop, IDM, inclassables...).