Genesis - The Way we Walk volume 2 The Longs

Sorti le: 12/03/2019

Par Julien Giet

Label: Atlantic Records

Site: http://worldofgenesis.com/

Seconde partie du diptyque The way we walk consacré aux chansons dites « longues », ce volume 2 ouvre par le bien estampillé Old Medley (seul témoignage de la musique de Genesis pré-Phil Collins sur l’ensemble du concert entier, vous noterez). Construit d’extraits de grands classiques du type « Firth of Fifth », « The Musical Box » ou encore « Dance on a Volcano », il constitue la substance progressive chère du Genesis chéri des fans des premières heures. Il semble presque miraculeux que le groupe ait tenu à exécuter une pièce pareille dans un stade de 50 000 places. Genesis nous fait aussi cadeau de jouer à la suite deux chansons pourtant séparées sous leur forme studio, à savoir « Home by the Sea » et sa suite logique « Second Home by the Sea ». Dans l’idée, on aurait apprécié une interprétation de l’œuvre Duke dans sa forme originelle (pour l’histoire, Duke avait été conçue comme une chanson de 30 minutes. Ses différents passages ont, par la suite, été sectionnés pour donner lieu à plusieurs chansons indépendantes). Un duet de batterie, moment incontournable entre Chester Thompson et Phil Collins vient clore cette seconde partie.

Quel bilan peut-on dresser de ce double album ? Pour commencer, il est vendu en deux parties. Deux parties excédant chacune l’heure d’écoute, certes, mais deux parties quand même qu’il serait dommage de dissocier. Classer les chansons suivant leur longueur est un choix ; un choix qui pourrait être perçu comme un séparateur à l’entrée d’une file, impliquant les amateurs de pop à se diriger vers le premier disque et les amateurs de musique typée progressive à se diriger vers le second. Il est dommage de procéder à une telle segmentation tant l’univers varié de Genesis regorge de pépites en tous genres que tout un chacun est libre de pouvoir apprécier.

Seconde partie du diptyque The way we walk consacré aux chansons dites « longues », ce volume 2 ouvre par le bien estampillé Old Medley (seul témoignage de la musique de Genesis pré-Phil Collins sur l’ensemble du concert entier, vous noterez). Construit d’extraits de grands classiques du type « Firth of Fifth », « The Musical Box » ou encore « Dance on a Volcano », il constitue la substance progressive chère du Genesis chéri des fans des premières heures. Il semble presque miraculeux que le groupe ait tenu à exécuter une pièce pareille dans un stade de 50 000 places. Genesis nous fait aussi cadeau de jouer à la suite deux chansons pourtant séparées sous leur forme studio, à savoir « Home by the Sea » et sa suite logique « Second Home by the Sea ». Dans l’idée, on aurait apprécié une interprétation de l’œuvre Duke dans sa forme originelle (pour l’histoire, Duke avait été conçue comme une chanson de 30 minutes. Ses différents passages ont, par la suite, été sectionnés pour donner lieu à plusieurs chansons indépendantes). Un duet de batterie, moment incontournable entre Chester Thompson et Phil Collins vient clore cette seconde partie.

Quel bilan peut-on dresser de ce double album ? Pour commencer, il est vendu en deux parties. Deux parties excédant chacune l’heure d’écoute, certes, mais deux parties quand même qu’il serait dommage de dissocier. Classer les chansons suivant leur longueur est un choix ; un choix qui pourrait être perçu comme un séparateur à l’entrée d’une file, impliquant les amateurs de pop à se diriger vers le premier disque et les amateurs de musique typée progressive à se diriger vers le second. Il est dommage de procéder à une telle segmentation tant l’univers varié de Genesis regorge de pépites en tous genres que tout un chacun est libre de pouvoir apprécier.